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Élections


Élections au Conseil de la SCEE 2025

L’élection du SCEE 2025 se tiendra du 6 au 20 mai 2025. La liste des candidat·e·s et leurs déclarations sont disponibles en ligne et dans un courriel du SCEE.

Nous organisons maintenant des élections pour les postes de: trésorière ou trésorier (mandat de 3 ans, renouvelable), conseiller ou conseillère (2 postes, mandats de 3 ans) et conseiller ou conseillère post-doctoral.e (1 poste, mandat de 2 ans). Vous pouvez retrouver la description de ces postes dans nos règlements internes, accessibles via le lien suivant : https://csee-scee.ca/council-gouvernance/

Les nouveaux et nouvelles membres du Conseil entreront en fonction à la suite de l’assemblée générale de 2025, qui se tiendra au mois de septembre. Les biographies des candidats sont affichées ci-dessous.

Trésorerie

Jannice Friedman: Je suis biologiste de l’évolution des plantes et professeure associée à l’Université Queen’s au Canada, où mon équipe étudie l’évolution des stratégies reproductives des plantes, l’évolution de leurs cycles de vie et la sélection sexuelle. J’étais auparavant professeure associée à l’Université de Syracuse Je suis toujours impressionnée par la qualité de la recherche menée par les membres de la Société Canadienne de l’Écologie et de l’Évolution et j’apprécie les pratiques de soutien, d’inclusion et de représentation de la société. Dans le poste de trésorerie de la SCEE, je vise à assurer une supervision financière rigoureuse pour la société et à allouer efficacement des fonds pour supporter la recherche, les rencontres, et les efforts de mobilisation de connaissances. J’apporte mon expérience en gestion budgétaire au Phytotron de Queen’s, dans l’administration de subventions offertes par des organismes de financement au Canada et aux États-Unis, ainsi que mon expérience dans des positions éditoriales dans des sociétés académiques. Je crois qu’il est important de cultiver un esprit communautaire et de résoudre les problèmes de manière collaborative. Je mettrai ces valeurs au service de la SCEE afin de soutenir la science canadienne, en prenant en compte nos forces et nos défis uniques. Je souhaite également augmenter l’engagement des membres avec la SCEE à l’année-longue grâce à des webinaires, des forums de discussions, et d’autres programmes, ainsi qu’à supporter les chercheur.euse.s à tous les niveaux.

Membre du conseil

Simon Joly: Je suis botaniste et j'étudie l'écologie et l'évolution. Titulaire d'un doctorat de l'Université de Montréal (2006), j'ai effectué des études postdoctorales à l'Université Massey, en Nouvelle-Zélande (2006-2008), puis à l'Université McGill (2008-2010). Je suis chercheur au Jardin botanique de Montréal et professeur associé à l'Université de Montréal depuis 2010. Je suis également directeur de l'Institut de recherche en biologie végétale, un organisme sans but lucratif voué à la recherche en botanique et en biodiversité. J'ai toujours apprécié m’engager dans mon milieu de travail et mon travail me semblerait incomplet sans contribution au bien-être général du milieu de la recherche et à l'avancement de la vulgarisation scientifique. Si je suis élu au conseil, je souhaite accroître l'influence de la SCEE au Canada par la prise de position sur les enjeux de société, en investissant dans des activités de vulgarisation et en augmentant le nombre de nos membres. Je m'efforcerai également d'accroître le financement de la recherche par nos gouvernements, sous forme de subventions et de bourses pour les étudiant.e.s des cycles supérieurs et les chercheur.euse.s postdoctoraux.

Membre du conseil

Kiyoko Gotanda : Je suis membre de la SCEE depuis ma Maitrise. Puisque la société a joué un rôle essentiel dans ma carrière scientifique, comme elle l’a fait pour de nombreux autres élèves et chercheur.euse.s, je souhaite poser ma candidature comme membre du conseil afin de contribuer à son mandat. En tant que membre du conseil, je continuerai à promouvoir des initiatives telles que le partenariat avec Canadian Science Publishing, le soutien au mouvement Support our Science, et l’appui continu offert aux étudiant.e.s aux cycles supérieurs. Ce serait un honneur pour moi de faire partie d’une société qui soutient, défend, et promeut la science au Canada.

Membre du conseil

Rob Laird : Je suis chercheur sur la sénescence des plantes, professeur, et co-responsable du département à l’Université de Lethbridge, où j’enseigne des l’écologie et la biostatistique. En tant que directeur de recherche et ancien président du comité de la maîtrise de mon université, je suis très impliqué dans la formation aux cycles supérieurs. J’ai également été impliqué dans de nombreux comités départementaux et universitaires. En plus de mes rôles à l’Université de Lethbridge, j’ai siégé onze ans au comité de rédaction de Biology Letters, et j’ai été membre du comité d’évaluation de subventions de l’association de conservation de l’Alberta pendant quatre ans. Depuis que la SCEE a été fondé, j’admire son efficacité à bâtir une communauté scientifique, à défendre la recherche fondamentale et appliquée, et à influencer les politiques publiques. La société a contribué à mon développement professionnel, et je suis enthousiaste à l’idée de participer à son succès continu. Notamment, je crois pouvoir représenter les perspectives des membres qui sont à de plus petites institutions, qui font face à des défis et à des opportunités particulières.

Membre du conseil

Ailene MacPherson: En tant que professeure adjointe en mathématiques à l’université Simon Fraser, je défends naturellement les voix diverses dans notre domaine. Dans mes recherches sur les adaptations locales, la coévolution hôte-parasite, et la phylodynamique, je cherche à renforcer les liens entre les disciplines de l’écologie, l’évolution, et l’épidémiologie que représente la SCEE. Mon travail me permet aussi de mieux apprécier la synergie entre la macro- et la microévolution. J’aimerais créer plus d’occasions pour l’interaction entre ces sous-domaines pour répondre à des enjeux actuels allant de la crise de la biodiversité à la santé publique. Ce qui me passionne le plus dans mon travail, ce sont les collaborations – qu’elles soient entre biologiques empiriques et théoriciens, entre universitaires et professionnels, ou entre mentors et stagiaires. En tant que membre du conseil, je m’engagerai à soutenir la diversité des expertises, des approches, et des membres de notre communauté, à défendre les intérêts des élèves aux cycles supérieurs et des chercheur.euse.s en début de carrière, et à faciliter les collaborations qui impacteront le futur de notre domaine.

Membre du conseil au post doctorat

Takuji Usui: Je suis stagiaire postdoctoral à l’Université de Toronto, où j’étudie l’écologie évolutive de la répartition des espèces et les interactions entre espèces. Je pose ma candidature au poste de membre du conseil au post doctorat, car j’aimerais redonner notre société préférée, au sein de laquelle je me suis senti chez moi depuis le début de mon doctorat à l’UBC. Je souhaite apporter au conseil mon expérience acquise dans divers comités, lors de mon travail dans des programmes de mentorat, et lors de l’organisation d’initiatives de rayonnement en collaboration avec des organismes communautaires à buts non-lucratifs. Je contribuerai aussi mes perspectives en tant qu’étudiant et chercheur immigré au Canada. Mes objectifs principaux en tant que conseiller au poste-doctorat seront d’améliorer les opportunités de de développement professionnel, de développer des formations sur la mobilisation, et de bâtir une communauté inclusive et connectée de stagiaires postdoctoraux en écologie et en évolution à travers le pays. Ce serait un privilège de représenter mes collègues et je m’engage à faire en sorte que toutes les voix de notre communauté soient entendues et valorisées.

Membre du conseil au post doctorat

Laurence Feyten: Je suis écologiste comportementale et stagiaire postdoctorale à l’Université de Québec à Montréal, ayant obtenu mon doctorat à l’université Concordia. J’étudie les réponses comportementales des animaux afin de mieux comprendre comment ils s’adaptent à des environnements qui changent rapidement. La SCEE a joué un rôle important dans mon développement professionnel depuis que je suis devenue membre en 2018, et je serais ravie de contribuer à la société dans le rôle de membre du conseil au post doctorat. Dans ce rôle, je ferai appel à mes expériences en tant que Vice-présidente des communications de l’association des étudiant.e.s aux cycles supérieurs en biologie à l’Univeristé Concordia et comme membre fondatrice et secrétaire de la section étudiante de la Société Américaine des Pêches au Québec. Je possède des compétences solides en organisation, en mentorat, en réseautage et en engagement communautaire, ainsi que dans la gestion de documents administratifs et dans l’engagement des membres sur les médias sociaux et par les correspondances par courriel. J’aimerais contribuer aux comités des communications et des prix, et représenter efficacement les membres postdoctoraux et les étudiant.e.s tout en sensibilisant le public à l’importance du travail de la SCEE.

Membre du conseil au post doctorat

Alexander Hare: Je suis stagiaire postdoctoral à l’Université de Victoria. Ma recherche combine diverses techniques dans les domaines de l’écophysiologie, de l’écologie spatiale, et de la bioacoustique afin de mieux comprendre les impacts du changement climatique sur les mammifères marins dans la région désignée des Inuvaluits dans l’arctique de l’ouest canadien. En tant que membre du conseil au post doctorat, je souhaite contribuer à la société accueillante et dynamique donc je suis fier de faire partie. Je compte faire ceci en organisant plus d’ateliers, de séminaires, et d’évènements sociaux en ligne qui faciliteront l’engagement de nos membres partout au pays. De plus, je m’engage à augmenter le nombre d’opportunités de financement pour supporter la participation des élèves de premier cycle et de cycles supérieurs, ainsi qu’à rendre notre société plus accessible et plus diverse.

Membre du conseil au post doctorat

Mona Parizadeh: Je suis stagiaire postdoctorale à l’Université de Calgary, spécialiste en écologie microbienne et en bioinformatiques. J’ai obtenu mon doctorat en 2021 à l’UQAM. Lors de mes études doctorales, j’ai co-organisé la série de séminaires sur la recherche écologique du Centre de la science de la biodiversié du Québec. Depuis 2023, je suis présidente de la communauté internationales des universitaires iraniens (ICOIA), où je fais la promotion de la collaboration académique et je soutiens les chercheur.euse.s en situations de risque. J’ai aussi fondé l’école en ligne de l’ICOIA, qui offre des cours scientifiques gratuits aux élèves qui parlent le persan afin de combattre les inégalités éducatives. En tant que coordinatrice des communications de la société ARTS (Artistic Research Translation in the Sciences), je promeus des approches interdisciplinaires en organisant des ateliers et des séminaires qui intègrent l’art et la science. Récemment, j’ai dirigé le projet Bridging Gaps in Research Computing for Canadian Persian-speaking Immigrants, financée par l’Alliance de recherche numérique du Canada afin de favoriser l’inclusivité en informatique pour la recherche. Trilingue en anglais, français, et persan, je souhaite utiliser mon expérience en organisation d’évènements et en leadership pour promouvoir la diversité, faciliter les collaborations interdisciplinaires, et soutenir les chercheur.euse.s en début de carrière.